Vendredi 15 juin 2007 à 7:35

Tutorial du Lancer de Pomme Clap Your Hands Say Yeah !


Quoi de plus beau que l'innocence (certains diront la naïveté) de l'enfance. Mes chers amis, revenons à de vraies valeurs ! (c'qu'il ya de mieux, c'est encore Dieu, lala la lalaaaaa, c'est encore Dieu! (qu'on se le tienne pour dit))

Je vais tenter par cet article de vous expliquer toute la finesse que représente ce noble sport qu'est le lancer de pomme Clap Your Hands Say Yeah ! (c'est long à dire oui).

1° phase : le lancer de pomme.

Pour commencer il faut une pomme (si possible verte fluo, remplie d'OGM (mais toutes les pommes peuvent faire l'affaire)).

Lancer la pomme d'une main sûre, et rattrapez-la. (fig.1)

                           Fig.1

Jusque là, rien de très difficile (sauf si vous êtes un(e) manchot(te)), compliquons le jeu quelque peu.


2° phase: Le Clap Your Hands Say Yeah !

Il s'agit maintenant de lancer la pomme, puis de taper dans ses mains avant que celle ci ne retombe. (fig.2)

                          Fig.2


Si vous maitrisez les deux étapes (fig.1 et fig.2), vous voilà prêt à participer à ce merveilleux sport (qui n'est, en aucun cas ridicule).

Maintenant il s'agit de faire un maximum de « claps », sachez que le record (établi le 14/06/07 par Janus et moi est de 11 Claps).

Wouhouhouuu, excitant n'est ce pas!?

Alors Bonne chance!

--

Pour compliquer encore les choses pour pouvez chausser des rollers. (Voire chausser les rollers et pratiquer le sport sur du gazon) (fig.3).

                              Fig.3

Et si votre objectif est de voir quelqu'un se ridiculiser, invitez un Janus… (fig.4). (et faites ça en plein Paris, c'est encore plus efficace...!)

                        fig.4

Vendredi 15 juin 2007 à 7:12

Expédié le dernier oral !
Julien est en vacances !



Les vacances, ça se mérite. Le petit Julien a en effet du passer par la terrible épreuve qu'est l'oral de Relations internationales.
Epreuve fondamentale dans la vie d'un jeune étudiant. Quoi de plus essentiel qu'apprendre un plan par cœur pour le réciter ensuite comme une jolie poésie à une jolie examinatrice ?
Hélas parfois la poésie n'est pas si belle, et l'examinatrice encore moins (surtout lorsqu'il s'agit d'un examinateur qui n'a pas fait crac-crac au petit déjeuner.)
Mais il est tout aussi fondamental de savoir parler pendant 4 mn de la « notion de puissance dans les relations internationales », quel individu peut prétendre suivre une conversation dans un déjeuner (d'affaire, ou entre amis) sans savoir tenir 4 mn sur la « notion de puissance dans les relations internationales
» ? Bref, fondamental vous dis-je.
Et… après des demi-heures de révision acharnée, des heures de glandage, des litres de thé, le jour fatidique arriva. Le troupeau est réuni, prêt à passer à l'abattoir. J'exagère un peu, ce n'est pas si terrible. N'empêche qu'il y en a des moutons, surtout un en fait, le genre troglodyte du VII°, coupe à la djeuns rebelle groupe de rock alternatif financé par papa, et chemise rose. Il s'approche de vous et demande « chuis trop en stress, c'est quoi la date de la conférence d'Helsinki ? » Et là on a envie de pleurer, si si je vous assure, parce qu'on ne la connaît pas cette putain de date de la conférence d'Helsinki, et on se demande pourquoi ce veau est venu vous la demander à vous ! Je n'avais sans doute pas l'air suffisamment désespéré, moi qui pensais que ça se lisait sur mon visage… (Sur mon visage on lit très bien le doute par contre, mais ça c'est parce qu'il m'asperge -j'en parle plus loin-)
Bref, le genre d'oral qu'on révise pendant loooongteeeemps -sur un cours qu'on n'a même pas prit soi même- et qui ne dure que 10 minutes.

Le genre d'oral à vous réveiller en
plein milieu de la nuit qui suit, parce que oui, vous le savez, quelque chose ne va pas.
Et soudain le doute vous asperge le visage (plusieurs fois même), ça a fait tilt, vous n'avez pas signé la feuille de présence lors de l'examen. Bravo, beau boulot le cerveau, merci de t'être rendu compte de ce détail infime et pourtant très compromettant pour le bon déroulement de l'épreuve. Effectivement, chapeau, on ne peut qu'applaudir. Seulement 10h pour réaliser qu'il manquant cette signature, la signature faisant évidemment (bonne – mauvaise) foi Monsieur l'examinateur !. Alors, sans foi ni loi (mais la peur au ventre) Julien se précipita jusqu'à sa fac où l'attendait la délicieuse
Thérèse, Thérèse la bienveillante comme l'appelle ses collègues, sacrée Thérèse, toujours avec ses sucettes… Bref elle a rassuré le pauvre petit Julien qui put (ne pas lire : « Julien qui pue ») rentrer chez lui.
En effet, notez bien que lors d'un examen votre signature est complètement-absolument-et bien évidemment obligatoire, mais, si vous ne signez pas ; « ce n'est pas grave, ne vous inquiétez pas, ce qui compte
c'est la note, beaucoup d'examinateurs ne font jamais signer les étudiants » (dixit Thérèse à la sucette).

Tout ça pour dire que Julien est en vacances, que [
MANON]'ber one (baby) passe son BAC (vite, vite du bois, du bois, du bois, du bois, du bois) et que mon mari a choisi de rompre avec moi (avant même d'établir la moindre relation amoureuse) –parce qu'il est en pleine rupture bande d'ignares !)-. Que de péripéties pendant que le Janus
lance des pommes and Claps His Hands Say Yeah !

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